[INTRO] Non, ce blog n'est pas un blog d'échecs !

Le noctambule ou cavalier de la nuit (nightrider en anglais) est une pièce d'échecs "féériques" créée en 1925 par le problémiste britannique Thomas Rayner Dawson. La pièce se déplace comme un cavalier classique (en L donc) mais peut également prolonger ce mouvement en formant des L de plus en plus grands sur l'échiquier... C'est un cavalier qui chevauche tard dans la nuit et dans le vent...

Mais pourquoi blog du noctambule ?

Parce que les échecs et leurs nombreuses variantes constituent une source inépuisable d'inspiration.

Parce que "noctambule" me fait penser au fabuleux Nighthawks d'Edward Hopper.
Parce que "cavalier de la nuit" évoque le terrifiant Erlkönig de Goethe.
Parce que, en dernier recours, j'adore le terme de "noctambule", qui correspond si bien à ma vie passée, présente et future.


L'idée est de parler de plein de choses... 

Ce blog parlera de musique (rock...), de littérature (science-fiction...), de BD, de cinéma et de trucs beaucoup plus généraux, personnels mais pas trop quand même... Pour tout ça, vous pouvez compter sur moi.

Ce blog parlera aussi d'amour et de désir !
Il paraît que c'est "tendance" d'en parler, surtout dans un blog. Ha ! Mais, mais, mais (trois "mais" ne sont pas de trop) ne comptez pas sur ce bon vieux Hamilton pour vous entretenir de tous ces problèmes extrêmement personnels. J'ai des sentiments mais je les exprime rarement. Je suis un grand timide. Bref. Pour toutes ces choses très compliquées à mes yeux, je vous ai trouvé LA contributrice de choix en la personne de Léandra Courbet, une amie de très longue date qui connaît l'univers des blogs et a par ailleurs la chance de posséder le don inné de captiver son lectorat par ses récits hauts en couleurs !

Vous êtes donc gâtés : vous avez presque deux blogs pour le prix d'un ! Et ce n'est pas tout : regardez le sous-titre qui suit.
En fait, ce blog est celui de Lionel Vanvelthem, avec Laurence Bodart en guest star, mais faut pas le dire !
Parler de plein de choses... mais sous une forme particulière

Chaque pièce d'échecs symbolise une forme d'écriture, un style, un rôle bien précis. Les pièces peuvent parler de tout, mais pas n'importe comment.


Bonne lecture (ou pas) !

Signé Hamilton